A l’attention de prunille :
Je pense qu’il est faux de penser que le nombre de PV reflète le nombre de places offertes au stage de dps. Pour preuve, je suis PE depuis 12 ans en Gironde, j’ai un master 1 de psycho et cela fait trois ans que je présente ma candidature au stage...sans succés... l’année dernière avec un barème de 7/10 ma candidature n’a pas été retenue. Je n’ai même pas passé l’entretien de sélection. Seulement 3 personnes ont été retenues pour ce département pourtant le nombre de candidatures était important. Partant de ce constat et avec beaucoup de rancoeur pour l’EN j’ai décidé de faire un Master 2 qui me permettra de pratiquer le métier de psychologue (qui m’intéresse fortement) en dehors de cette institution qui à mon avis néglige un peu trop son personnel.
Bonne chance
Nathalie
A l’attention de prunille :
Je pense qu’il est faux de penser que le nombre de PV reflète le nombre de places offertes au stage de dps. Pour preuve, je suis PE depuis 12 ans en Gironde, j’ai un master 1 de psycho et cela fait trois ans que je présente ma candidature au stage...sans succés... l’année dernière avec un barème de 7/10 ma candidature n’a pas été retenue. Je n’ai même pas passé l’entretien de sélection. Seulement 3 personnes ont été retenues pour ce département pourtant le nombre de candidatures était important. Partant de ce constat et avec beaucoup de rancoeur pour l’EN j’ai décidé de faire un Master 2 qui me permettra de pratiquer le métier de psychologue (qui m’intéresse fortement) en dehors de cette institution qui à mon avis néglige un peu trop son personnel.
Bonne chance
Nathalie
Bonjour,
Je souhaite demander cette année à faire la formation pour devenir psychologue scolaire (je suis PE depuis 6 ans et je suis en cours de validation d’un M1 de psycho à jussieu Paris VII). En lisant votre article, je m’inquiète donc quant aux chances que j’ai que ma demande soit acceptée. Savez-vous combien de demandes sont faites à Paris en fonction du nombre de formations accordées ?
En vous remerciant,
Mme Cobat
Bonjour,
diplômée d’un Master 2 (ex DESS) de neuropsychologie, mon projet professionnel a toujours été de travailler auprès d’enfants présentant des troubles des apprentissages ou autres au sein même de l’école, la réussite de la scolarité de ces enfants étant essentielle à mes yeux. Cependant je trouve fort dommage de restreindre le recrutement des psychologues scolaires aux seuls professeurs des écoles titulaires d’une Licence de psychologie et de ne pas permettre à des personnes extérieures mais titulaire d’un Master 2 (ou DESS) de psychologie et très fortement motivées de venir occuper ces postes tant importants ne trouvant pas de candidats.
Je souhaite donc de tout coeur que votre message soit entendu par Monsieur le Ministre de l’Education lors de l’audition que vous lui avez demandé.
je suis psychologue scolaire en nouvelle calédonie : Le premier degré de l’enseignement n’est plus sous compétence d’état, mais sous compétence territoriale ;Nous ne sommes plus que 4 ou 5 psychologues scolaires sur tout le territoire : ici, on a résolu le problème du recrutement en employant des "psychologues scolaires" qui ne sont ni psychologues (recrutement à partir du niveau licence de psychologie) ni scolaires (contractuels en CDD transformés en CDI car ils "donnent satisfaction) ; help !!!
Avec une gestion budgétaire des départs en formation de psychologues qui revient aux académies, il n’est pas étonnant que le nombre de départ en stage baisse. Chaque inspection Académique puise ainsi dans ses fonds propres .
La LOLF revient cher !
En corrèze, aussi, nous avons 2 postes de psychologues en moins depuis un an et toujours personne en formation.
Pour l’inspection académique, cela coûterait moins cher de recruter quelqu’un avec 1 DESS que de le former un an.
Si personne ne postule pour partir en formation l’an prochain ou n’arrive d’un autre département, nous perdrons sûrement 1 ou 2 postes...l’année suivante (en 2008/2009).
Misère...
Gilles DENECKER
Psychologue scolaire-Objat-Corrèze