Les idées/hypothèses sous-jacentes à la rédaction de cet article sont intéressantes. Le paradigme de la médicalisation de l’échec scolaire est en effet très marqué actuellement dans les établissements.
Cependant, on aurait pu s’attendre à un texte plus dense -avec des arguments plus incisifs - et étayé avec des exemples cliniques. A la lecture de cet écrit, on a bien du mal à dépasser le stade de l’opinion, qui-plus-est, d’une opinion très répandue parmi la communauté des psychologues de l’éducation nationale.
En somme, je regrette qu’un texte aussi sommaire (sur un thème pourtant crucial) ait pu être publié sur le site de l’AFPEN.
A titre personnel, je rêve de lire des argumentaires de qualité qui défendent la position clinique du psychologue comme une alternative féconde à l’analyse de type médical ou pédagogique de la difficulté scolaire ou de la souffrance à l’école.
Peut-être ce rêve est-il trop beau ?
Cordialement,
Un adhérent de l’AFPEN
Les idées/hypothèses sous-jacentes à la rédaction de cet article sont intéressantes. Le paradigme de la médicalisation de l’échec scolaire est en effet très marqué actuellement dans les établissements.
Cependant, on aurait pu s’attendre à un texte plus dense -avec des arguments plus incisifs - et étayé avec des exemples cliniques. A la lecture de cet écrit, on a bien du mal à dépasser le stade de l’opinion, qui-plus-est, d’une opinion très répandue parmi la communauté des psychologues de l’éducation nationale.
En somme, je regrette qu’un texte aussi sommaire (sur un thème pourtant crucial) ait pu être publié sur le site de l’AFPEN.
A titre personnel, je rêve de lire des argumentaires de qualité qui défendent la position clinique du psychologue comme une alternative féconde à l’analyse de type médical ou pédagogique de la difficulté scolaire ou de la souffrance à l’école.
Peut-être ce rêve est-il trop beau ?
Cordialement,
Un adhérent de l’AFPEN