Bonjour,
Effectivement, le droit d’accord ou de refus ne s’impose que sur l’entretien et le bilan individuels.
Cependant, les parents sont néanmoins et légitimement en droit de s’interroger : - de quel droit le psy est venu "observer" ? Pourquoi nous n’avons pas été informés ? Pourquoi il est venu ? Pour voir quoi ? Quand ? Comment ? Combien de temps ? Combien de fois ? Qu’en a-t-il tiré ? Pour quoi faire et puis après, est-ce qu’on pourra au moins le rencontrer ? etc...
Ce n’est donc pas un acte anodin et il peut générer beaucoup d’inquiétudes, voire de tensions.
A la question posée par la collègue on pourrait simplement répondre ë oui mais  » en amont vous informez les parents". Mais est -ce suffisant ?
Il semble que chaque psychologue a à définir ses modalités de travail sur le secteur dans lequel il travaille.
A partir du moment où il accepte d’utiliser l’outil "observation de l’enfant en classe" il doit en poser très clairement son cadre, en indiquant le pourquoi de son observation.
Prévenir les parents en amont suffit-il ? Leur laissera -t-on la possibilité de nous contacter avant ? Et de s’y opposer ? Accepterons-nous ce refus puisqu’on est en droit de faire cette observation en tant que membre de l’équipe scolaire ? etc.
La collègue psy pourrait reposer la demande avec l’enseignant pour ouvrir sur d’autres interrogations et inquiétudes concernant l’observation du 2ème enfant, écouter ce qu’elle a en dire, dissocier les deux enfants...
Pour ma part j’ai abandonné depuis fort longtemps ce procédé. Je reprends avec l’enseignant sa demande de venir voir.... Qu’est-ce qui l’inquiète chez cet enfant, en insistant sur le pourquoi je devrais venir observer ce qu’elle a déjà observé elle.
Les moments informels, dans les couloirs, à l’accueil, cour de récréation, quand je viens chercher un enfant dans sa classe sont pleins de moments de rencontres, d’écoute et d’échanges autres sur lesquels je m’appuie aussi pour enrichir mes échanges avec les enseignants.
GWK psychologue membre de l’AFPEN
Bonjour,
Je suis séparé avec mon ex compagne, nous avons deux enfants en commun. L’entente entre nous n’est pas terrible avec des difficultés de communication. Mon ex compagne a décidé, sans me prévenir, d’utiliser les services du psychologue de l’école pour notre plus grand fils. À priori je n’ai rien contre mais j’aurais voulu qu’elle m’en fasse part et qu’elle me demande mon accord. Elle n’en a rien fait, c’est mon fils de 9 ans qui me l’a dit avec ses mots ce soir au téléphone, il va la voir demain. Qu’en pensez vous svp ?
Bonjour ,
Je suis professeure des écoles en ULIS, dans un établissement privé sous contrat d association avec l etat., et en M2 de psychologie du développement.
Je souhaiterais postuler au concours de PSy EN , mais je me demande si je pourrais par la suite exercer en privé sous contrat en restant employée par l education nationale ?
Merci
Bonjour,
Je suis Lucille Wanono, étudiante en première année en licence de sciences de l’éducation. Dans le cadre de ma formation , il m’est demandé de faire des recherches sur le psychologue privé dans l’enseignement catholique ou non. Pour parfaire mes recherches j’aurais besoin de quelques réponses pour répondre à mes questions sur l’appui de professionnels que je mentionnerais dans mon dossier comme gage de la véracité de mes sources. C’est pourquoi j’aimerais que vous puissiez m’éclairer sur certains points.Si vous êtes disponible en entretien, par téléphone ou répondre par mail cela me convient. Je n’ai que dix questions à vous soumettre.
Cordialement,
Lucille Wanono.