Merci pour votre apport, Annie.
Pouvez-vous nous dire si les enfants étaient volontaires ou s’ils étaient invités d’emblée à participer au groupe.
J’ étais tentée de me déplacer pour proposer un groupe avant le déconfinement. Mais je trouve qu’il y a peu d’enfants de soignants et beaucoup d’adultes volontaires pour les encadrer. A la limite, ils seraient trop stimulés, encadrés par des adultes (dont membres du rased) qui veulent bien faire et se rendre utiles. (un adulte par enfant très souvent).
Votre idée pourra être proposée à tous, au moment du retour à l’école.
Je voudrais avoir votre avis : que répondez-vous quand des enseignants spécialisés, des infirmières, des assistantes sociales créent des projets de ce type (groupe de paroles) ?
Ils disent qu’ils sont formés eux aussi à cette écoute. Ma question, le sommes nous tous vraiment également en tant que psychologue ? il est plus ou moins facile d’appliquer un protocole, un cadre et toute personne de bonne volonté peut le suivre. Après, l’écoute, l’analyse des relations dans le groupe, la continuité, le contre -transfert c’est plus compliqué sans supervision solide. Cela me préoccupe toutes ces personnes qui veulent écouter, libérer la parole...... quel est notre rôle ?
Cordialement Akila